Brésil, la banque centrale annonce une baisse de croissance
Actualité Economique | Dilma Roussef | Sao Paulo
Banque centrale brésilienne, baisse en prévisions de croissance
Jeudi dernier, la banque centrale brésilienne a annoncé une baisse dans les prévisions de croissance pour 2012 en se basant sur le fait qu’un ralentissement de longue durée de l’économie mondiale faisait baisser les risques inflationnistes.
Sao Paulo, le cœur économique brésilien
La banque centrale brésilienne avait déclaré auparavant, dans son rapport trimestriel sur 2011, que l’inflation devrait être supérieure à la limite haute de la fourchette de ses objectifs, avec 6,5%.
Pour la nouvelle année, la banque centrale brésilienne, après une estimation précédente de la croissance égale à 3,5%, a abaissé ses prévisions à seulement 3,0%.
Elle envisage également, pour l’année prochaine, un produit intérieur brut (PIB) de 3,5% tandis que le gouvernement de Dilma Roussef retient encore une croissance de 5%. En ce qui concerne l’inflation, la banque centrale de la première économie de l’Amerique latine, elle, confirme un taux de 4,7%, un niveau légèrement central à son objectif égal à 4,5%. La banque centrale a tenu à souligné les tensions sur le marché du travail et la croissance soutenue du crédit.
Banque centrale brésilienne, baisse en prévisions de croissance
Jeudi dernier, la banque centrale brésilienne a annoncé une baisse dans les prévisions de croissance pour 2012 en se basant sur le fait qu’un ralentissement de longue durée de l’économie mondiale faisait baisser les risques inflationnistes.
Sao Paulo, le cœur économique brésilien
La banque centrale brésilienne avait déclaré auparavant, dans son rapport trimestriel sur 2011, que l’inflation devrait être supérieure à la limite haute de la fourchette de ses objectifs, avec 6,5%.
Pour la nouvelle année, la banque centrale brésilienne, après une estimation précédente de la croissance égale à 3,5%, a abaissé ses prévisions à seulement 3,0%.
Elle envisage également, pour l’année prochaine, un produit intérieur brut (PIB) de 3,5% tandis que le gouvernement de Dilma Roussef retient encore une croissance de 5%. En ce qui concerne l’inflation, la banque centrale de la première économie de l’Amerique latine, elle, confirme un taux de 4,7%, un niveau légèrement central à son objectif égal à 4,5%. La banque centrale a tenu à souligné les tensions sur le marché du travail et la croissance soutenue du crédit.
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