Le Brésil ne sera pas le premier acheteur de l’avion de combat français Rafale.
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Le Brésil ne veut pas de l’avion Rafale de chez Dassault aviation.
Fierté de la technologie de pointe et de l’industrie Française, l’avion militaire « Rafale » devait enfin trouver un acquéreur étranger avec le Brésil. Il n’en sera rien.
Aucun pays ne veut de l’avion multi-rôles français « Rafale«
Alors que la nouvelle président du Brésil, Dilma Roussef, est à la tête du pays depuis le début de l’année en reprenant la « succession politique » de l’ex-président Lula, un plan d’économie visant à gagner 22 milliards d’euros a été annoncé.
Alors qu’une vive concurrence sur les avions militaires faisait rage entre les américains (avec le « F-18 Hornet« ), les suédois (avec le « Saab
Gripen« ) et les français à hauteur d’un contrat de 8 milliards, la donne a été totalement modifiée.
Malgré de nombreuses voyages et interventions diplomatiques entre les présidents français, Nicolas Sarkosy et son homologue brésilien de
l’époque Lula, le choix de conserver la flotte d’avions actuelle a donc été sélectionnée.
Même dans l’optique de réservation de sa décision sur les terres brésiliennes, il est désormais peu probable que le Brésil devient le
premier acheteur de cet avion. En effet, parmi les options disponibles, il reste le plus couteux.
Le Brésil ne veut pas de l’avion Rafale de chez Dassault aviation.
Fierté de la technologie de pointe et de l’industrie Française, l’avion militaire « Rafale » devait enfin trouver un acquéreur étranger avec le Brésil. Il n’en sera rien.

Aucun pays ne veut de l’avion multi-rôles français « Rafale«
Alors que la nouvelle président du Brésil, Dilma Roussef, est à la tête du pays depuis le début de l’année en reprenant la « succession politique » de l’ex-président Lula, un plan d’économie visant à gagner 22 milliards d’euros a été annoncé.
Alors qu’une vive concurrence sur les avions militaires faisait rage entre les américains (avec le « F-18 Hornet« ), les suédois (avec le « Saab
Gripen« ) et les français à hauteur d’un contrat de 8 milliards, la donne a été totalement modifiée.
Malgré de nombreuses voyages et interventions diplomatiques entre les présidents français, Nicolas Sarkosy et son homologue brésilien de
l’époque Lula, le choix de conserver la flotte d’avions actuelle a donc été sélectionnée.
Même dans l’optique de réservation de sa décision sur les terres brésiliennes, il est désormais peu probable que le Brésil devient le
premier acheteur de cet avion. En effet, parmi les options disponibles, il reste le plus couteux.
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